Mais qui est Jane Austen ??? !!!

Jane Austen est une écrivaine anglaise du début du XIXème siècle. Elle fait partie, avec les sœurs Brontë entre autres, des auteurs classiques de la littérature anglaise. C’est un peu la Victor Hugo de Londres (la barbe en moins) ou la Balzac  de Winchester. Née en décembre 1775 et avant dernière d’une fratrie de huit enfants (🍼courageuse madame Austen mère), elle grandit dans un milieu de notables. Son père est clergyman et sa mère chargée de gérer la maison. 


Jane Austen est très vite envoyée, comme le veut la tradition familiale, dans différents établissements pour forger ses apprentissages dans les domaines de la couture, la broderie, la danse (XIXème siècle, je vous le rappelle ! )…
C’est auprès de son père et de ses frères qu’elle développe sa culture littéraire et son amour pour l’écriture. 

Dès l’âge de douze ans, notre écrivaine  compose des poèmes et des histoires pour le divertissement familial. A l’approche de la vingtaine, elle rédige l’ébauche des romans qui deviendront des références littéraires : Elinor et Marianne qui sera publié trente ans plus tard sous le titre Raison et Sentiments ou encore First Impressions qui est le futur Orgueil et préjugés. Dès lors, elle consacre sa vie à la lecture et à l’écriture. Son père décède alors qu’elle est âgée de trente ans. 

Jane Austen  continue d’écrire malgré les difficultés financières et ne se mariera jamais. Sa sœur, Cassandra, non plus. Elles resterons proches et complices toute leur vie. C’est sûrement une des raisons pour laquelle les duos de femmes sont présents dans quasiment tous ses romans. A l’époque, une union lui aurait permis d’accéder à un niveau de vie plus confortable et d’assurer un meilleur quotidien  à ses proches mais forte de ses convictions et de sa passion pour l’art et l’érudition, elle refuse, à vingt sept ans, la seule proposition de mariage qu’il lui aura été faite de toute sa vie…💍De son vivant sont édités : Raison et sentiments, Orgueil et préjugés (mon favori), Mansfield Park et Emma (Haaaa, Emma…)Elle meurt à quarante et un ans  d’une maladie contractée dix huit mois plus tôt.

Certains biographes attribuent sa disparition à une insuffisance surrénalienne (maladie d’Addison) résultant de la tuberculose, tandis que d’autres évoquent une éventuelle maladie de Hodgkin (lymphome à grandes cellules). Bref, elle est sûrement partie à cause d’une tuberculose de Hodgkin et d’Addison à grandes cellules surrénaliennes 😉…A titre posthume, ses romans Northanger Abbey et Persuasion seront édités en 1818 (trois ans après son décès).Son écriture est reconnue au XIXème siècle par l’élite littéraire anglaise mais c’est son neveu qui la fait connaître d’un public plus large quarante quatre ans après sa disparition par le biais d’une biographie . Son succès prend alors son essor. Sur le plan académique, c’est à partir des années 1940 que son œuvre est reconnue pour faire d’elle un grand écrivain classique anglais. S’ensuivront quelques années plus tard les adaptations cinématographiques et télévisuelles qui ne feront que parfaire sa gloire.  Véritable critique sociale et féministe avant gardiste, elle décrit avec dérision et légèreté une époque où la femme était souvent reléguée au second plan (professionnel, culturel, intellectuel…) Ses héroïnes , au centre des romans, sont des modèles d’intelligence et de force de caractère. Les romans de Jane (on peut s’appeler par nos prénoms à ce stade) font partie de mes références littéraires depuis l’adolescence. Ils ont forgé, en partie, mon rapport à la littérature, au féminisme et au monde de façon plus large. 
Car n’est-ce pas cela qui différencie un bon roman d’une histoire sans intérêt ?  L’envie d’y replonger encore et encore parce que le bouleversement, année après année,  est toujours le même ? La certitude et le plaisir de retrouver des personnages qui nous ont fait grandir, aimer, pleurer et rêver ? 
En cela la littérature est mon anti-dépresseur, mon remède contre les épreuves de la vie, la dose de Cordarone qui apaise mon cœur après une journée passée dans l’ambiance survoltée d’un service de soins. Emma Whoodhouse, Elisabeth Bennet et Elinor Dashwood font partie de ma vie et pour ça…merci Jane. Check, bises et à plus ! 

Elle fait partie, avec les sœurs Brontë entre autres, des auteurs classiques de la littérature anglaise. C’est un peu la Victor Hugo de Londres (la barbe en moins) ou la Balzac  de Winchester. Née en décembre 1775 et avant dernière d’une fratrie de huit enfants (🍼courageuse madame Austen mère), elle grandit dans un milieu de notables. Son père est clergyman et sa mère chargée de gérer la maison. 


Jane Austen est très vite envoyée, comme le veut la tradition familiale, dans différents établissements pour forger ses apprentissages dans les domaines de la couture, la broderie, la danse (XIXème siècle, je vous le rappelle ! )…
C’est auprès de son père et de ses frères qu’elle développe sa culture littéraire et son amour pour l’écriture. Dès l’âge de douze ans, notre écrivaine  compose des poèmes et des histoires pour le divertissement familial. A l’approche de la vingtaine, elle rédige l’ébauche des romans qui deviendront des références littéraires : Elinor et Marianne qui sera publié trente ans plus tard sous le titre Raison et Sentiments ou encore First Impressions qui est le futur Orgueil et préjugés. Dès lors, elle consacre sa vie à la lecture et à l’écriture. Son père décède alors qu’elle est âgée de trente ans.  Jane Austen  continue d’écrire malgré les difficultés financières et ne se mariera jamais. Sa sœur, Cassandra, non plus. Elles resterons proches et complices toute leur vie. C’est sûrement une des raisons pour laquelle les duos de femmes sont présents dans quasiment tous ses romans. A l’époque, une union lui aurait permis d’accéder à un niveau de vie plus confortable et d’assurer un meilleur quotidien  à ses proches mais forte de ses convictions et de sa passion pour l’art et l’érudition, elle refuse, à vingt sept ans, la seule proposition de mariage qu’il lui aura été faite de toute sa vie…💍De son vivant sont édités : Raison et sentiments, Orgueil et préjugés (mon favori), Mansfield Park et Emma (Haaaa, Emma…)Elle meurt à quarante et un ans  d’une maladie contractée dix huit mois plus tôt.

Certains biographes attribuent sa disparition à une insuffisance surrénalienne (maladie d’Addison) résultant de la tuberculose, tandis que d’autres évoquent une éventuelle maladie de Hodgkin (lymphome à grandes cellules). Bref, elle est sûrement partie à cause d’une tuberculose de Hodgkin et d’Addison à grandes cellules surrénaliennes 😉…A titre posthume, ses romans Northanger Abbey et Persuasion seront édités en 1818 (trois ans après son décès).Son écriture est reconnue au XIXème siècle par l’élite littéraire anglaise mais c’est son neveu qui la fait connaître d’un public plus large quarante quatre ans après sa disparition par le biais d’une biographie . Son succès prend alors son essor. Sur le plan académique, c’est à partir des années 1940 que son œuvre est reconnue pour faire d’elle un grand écrivain classique anglais. S’ensuivront quelques années plus tard les adaptations cinématographiques et télévisuelles qui ne feront que parfaire sa gloire.  Véritable critique sociale et féministe avant gardiste, elle décrit avec dérision et légèreté une époque où la femme était souvent reléguée au second plan (professionnel, culturel, intellectuel…) Ses héroïnes , au centre des romans, sont des modèles d’intelligence et de force de caractère. Les romans de Jane (on peut s’appeler par nos prénoms à ce stade) font partie de mes références littéraires depuis l’adolescence. Ils ont forgé, en partie, mon rapport à la littérature, au féminisme et au monde de façon plus large. 
Car n’est-ce pas cela qui différencie un bon roman d’une histoire sans intérêt ?  L’envie d’y replonger encore et encore parce que le bouleversement, année après année,  est toujours le même ? La certitude et le plaisir de retrouver des personnages qui nous ont fait grandir, aimer, pleurer et rêver ? 
En cela la littérature est mon anti-dépresseur, mon remède contre les épreuves de la vie, la dose de Cordarone qui apaise mon cœur après une journée passée dans l’ambiance survoltée d’un service de soins. Emma Whoodhouse, Elisabeth Bennet et Elinor Dashwood font partie de ma vie et pour ça…merci Jane. Check, bises et à plus ! 

Elle fait partie, avec les sœurs Brontë entre autres, des auteurs classiques de la littérature anglaise. C’est un peu la Victor Hugo de Londres (la barbe en moins) ou la Balzac  de Winchester. Née en décembre 1775 et avant dernière d’une fratrie de huit enfants (🍼courageuse madame Austen mère), elle grandit dans un milieu de notables. Son père est clergyman et sa mère chargée de gérer la maison. 


Jane Austen est très vite envoyée, comme le veut la tradition familiale, dans différents établissements pour forger ses apprentissages dans les domaines de la couture, la broderie, la danse (XIXème siècle, je vous le rappelle ! )…
C’est auprès de son père et de ses frères qu’elle développe sa culture littéraire et son amour pour l’écriture. Dès l’âge de douze ans, notre écrivaine  compose des poèmes et des histoires pour le divertissement familial. A l’approche de la vingtaine, elle rédige l’ébauche des romans qui deviendront des références littéraires : Elinor et Marianne qui sera publié trente ans plus tard sous le titre Raison et Sentiments ou encore First Impressions qui est le futur Orgueil et préjugés. Dès lors, elle consacre sa vie à la lecture et à l’écriture. Son père décède alors qu’elle est âgée de trente ans.  Jane Austen  continue d’écrire malgré les difficultés financières et ne se mariera jamais. Sa sœur, Cassandra, non plus. Elles resterons proches et complices toute leur vie. C’est sûrement une des raisons pour laquelle les duos de femmes sont présents dans quasiment tous ses romans. A l’époque, une union lui aurait permis d’accéder à un niveau de vie plus confortable et d’assurer un meilleur quotidien  à ses proches mais forte de ses convictions et de sa passion pour l’art et l’érudition, elle refuse, à vingt sept ans, la seule proposition de mariage qu’il lui aura été faite de toute sa vie…💍De son vivant sont édités : Raison et sentiments, Orgueil et préjugés (mon favori), Mansfield Park et Emma (Haaaa, Emma…)Elle meurt à quarante et un ans  d’une maladie contractée dix huit mois plus tôt. Certains biographes attribuent sa disparition à une insuffisance surrénalienne (maladie d’Addison) résultant de la tuberculose, tandis que d’autres évoquent une éventuelle maladie de Hodgkin (lymphome à grandes cellules). Bref, elle est sûrement partie à cause d’une tuberculose de Hodgkin et d’Addison à grandes cellules surrénaliennes 😉…A titre posthume, ses romans Northanger Abbey et Persuasion seront édités en 1818 (trois ans après son décès).Son écriture est reconnue au XIXème siècle par l’élite littéraire anglaise mais c’est son neveu qui la fait connaître d’un public plus large quarante quatre ans après sa disparition par le biais d’une biographie . Son succès prend alors son essor. Sur le plan académique, c’est à partir des années 1940 que son œuvre est reconnue pour faire d’elle un grand écrivain classique anglais. S’ensuivront quelques années plus tard les adaptations cinématographiques et télévisuelles qui ne feront que parfaire sa gloire.  

Véritable critique sociale et féministe avant gardiste, elle décrit avec dérision et légèreté une époque où la femme était souvent reléguée au second plan (professionnel, culturel, intellectuel…) Ses héroïnes , au centre des romans, sont des modèles d’intelligence et de force de caractère. Les romans de Jane (on peut s’appeler par nos prénoms à ce stade) font partie de mes références littéraires depuis l’adolescence. Ils ont forgé, en partie, mon rapport à la littérature, au féminisme et au monde de façon plus large. 
Car n’est-ce pas cela qui différencie un bon roman d’une histoire sans intérêt ?  L’envie d’y replonger encore et encore parce que le bouleversement, année après année,  est toujours le même ? La certitude et le plaisir de retrouver des personnages qui nous ont fait grandir, aimer, pleurer et rêver ? 


En cela la littérature est mon anti-dépresseur, mon remède contre les épreuves de la vie, la dose de Cordarone qui apaise mon cœur après une journée passée dans l’ambiance survoltée d’un service de soins. Emma Whoodhouse, Elisabeth Bennet et Elinor Dashwood font partie de ma vie et pour ça…merci Jane. Check, bises et à plus ! 


Car n’est-ce pas cela qui différencie un bon roman d’une histoire sans intérêt ?  L’envie d’y replonger encore et encore parce que le bouleversement, année après année,  est toujours le même ? La certitude et le plaisir de retrouver des personnages qui nous ont fait grandir, aimer, pleurer et rêver ? 
En cela la littérature est mon anti-dépresseur, mon remède contre les épreuves de la vie, la dose de Cordarone qui apaise mon cœur après une journée passée dans l’ambiance survoltée d’un service de soins. Emma Whoodhouse, Elisabeth Bennet et Elinor Dashwood font partie de ma vie et pour ça…merci Jane. Check, bises et à plus ! 

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